Inspiré du Barcrawl, le Dishcrawl a vu le jour il y a quelque temps en Californie. La première personne à m’en avoir parlé est mon amie Virginie Coossa, qui l’avait essayé à New York. Montréal l’offre depuis le mois de juillet grâce à l’instigatrice Marcella De Vincenzo. J’ai enfin pu l’essayer mardi dernier.
L’avantage de ce type de virée organisée réside dans la simplicité de la chose. On s’inscrit, on paie un prix fixe – environ 50 $ selon les restaurants visités – et on laisse notre palais faire de nouvelles découvertes. Le laisser-aller est important ici puisque les lieux visités sont gardés secrets jusqu’au jour J, à l’exception du premier restaurant qui fait office de lieu de rendez-vous.
C’est donc une véritable surprise qui attend les participants. Nous sommes conviés au premier lieu vers 19 h, mais le reste de la soirée nous est dévoilé au fur et à mesure qu’elle avance. En tout, quatre restaurants sont visités, un plat par resto est dégusté et on reste une heure à chaque endroit. Les restaurants sont choisis de façon à ce qu’on puisse marcher d’un endroit à l’autre. La soirée est très bien organisée. Nous sommes attendus à chaque endroit, très bien accueillis et le service est rapide et courtois.
Ce qui est pratique dans ce genre d’activité, c’est que ça nous fait découvrir de nouveaux restaurants. Ce l’est encore plus lorsqu’on est en voyage dans une autre ville. On aura peut-être le goût de retourner à notre resto coup de cœur pour y vivre l’expérience totale.
Cette idée pourrait très bien être reprise en événementiel avec des groupes. Pensez-y pour votre party de bureau ou encore pour recevoir des gens de l’extérieur de Montréal. Une excellente façon de leur faire découvrir la ville!
Pour ma part, j’étais avec un groupe de quatre. C’était très agréable. Mais vous pouvez très bien y aller seul. Vous vous ferez des amis, c’est certain!
Les prochaines soirées auront lieu le 7 avril et le 26 avril (soirée végétarienne).
Pour les infos, je vous invite à devenir fan de leur page Facebook ou d’aller consulter leur site internet. Léger bémol : il n’est qu’en anglais.